La fausse doctrine du salut par la croyance seule

Crois-tu que Jésus est le Messie annoncé dans la Bible hébraïque, mort pour nos péchés et ressuscité par Dieu le Père pour nous justifier? Si tu le crois, “tu fais bien ; les démons le croient aussi, et ils tremblent.” (Jacques 2:19).

Nombreux sont ceux qui pensent que croire cela c’est croire en Jésus, et que cela fait de quelqu’un un chrétien. Nombreux sont ceux qui ont été mal enseignés et qui croient être sauvés parce qu’ils ont cru cela et ont reçu le baptême d’eau. Si c’est ton cas, permet-moi de te dire que tu es en danger. Mais heureusement pour toi, si tu lis cet article c’est que Dieu veut te (re)placer sur le chemin resserré qui mène à la vie.

A la lumière de la Bible et du Saint Esprit, nous allons voir dans cet article que croire que Jésus est le Messie, en avoir la connaissance intellectuelle, est loin d’être tout ce qui fait un chrétien, et que c’est même insuffisant pour nous assurer le salut. Nous verrons également ce que Dieu attend de nous.

 

1. Un chrétien est un disciple de Jésus

La Parole nous dit que: “Ce fut à Antioche que, pour la première fois, les disciples furent appelés chrétiens.” (Actes 11:26). Le chrétien est donc, avant tout, un disciple de Jésus. Le terme “disciple” vient du latin “discipulus” qui veut dire “élève” ou “apprenti”.

Le dictionnaire précise que le disciple est celui qui apprend une connaissance, une instruction, d’un maître et qui s’attache à ses principes.

Le chrétien est donc une personne qui, non seulement, reconnaît Jésus comme son maître, mais aussi et surtout qui persévère dans son enseignement.

 

2. Croire en Jésus pour être sauvé ; le reconnaître comme son sauveur et devenir son disciple

Romains 10:9-10 nous dit: “Si tu confesses de ta bouche que Jésus est le Seigneur, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut, selon ce que dit l’Écriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus.”.

Ce que nous disent ces deux versets, c’est que c’est en croyant en Jésus que nous sommes sauvés. Plus important encore, ils nous révèlent que croire en Jésus c’est non seulement être convaincu qu’il est le Messie envoyé du Père pour nous sauver, mais c’est aussi le choisir comme le Seigneur de notre vie.

Paul nous invitent ici à bâtir notre foi sur la résurrection de Jésus car c’est elle qui lui donne un fondement solide et nous justifie. En effet, la résurrection de Jésus par Dieu est la preuve incontestable que Jésus est le Messie, l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde, celui dont la venue était annoncée par les prophètes de l’Ancienne Alliance. L’apôtre nous encourage également ici à persévérer dans les enseignements de Jésus pour parvenir au salut.

 

3. Être un disciple de Jésus, c’est aspirer à être saint comme le maître

Paul avait saisi l’importance d’imiter le maître. Dans plusieurs de ses épîtres, il va exhorter les disciples à imiter Jésus.

Dans 1 Corinthiens 11:1, il va écrire : “Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ.” ; dans Éphésiens 5:1 : “Devenez donc les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés” ; ou encore dans 1 Thessaloniciens 1:6-7 : “Et vous-mêmes, vous avez été mes imitateurs et ceux du Seigneur, en recevant la parole au milieu de beaucoup de tribulations, avec la joie du Saint Esprit, en sorte que vous êtes devenus un modèle pour tous les croyants de la Macédoine et de l’Achaïe”. Imiter Jésus, c’est chercher à devenir un modèle de sainteté.

En effet, dans sa première Épître Pierre écrit : “Comme des enfants obéissants, ne vous conformez pas aux convoitises que vous aviez autrefois, quand vous étiez dans l’ignorance. Mais, puisque celui qui vous a appelés est saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite, selon qu’il est écrit : Vous serez saints, car je suis saint.” (1 Pierre 1:14-16). Ainsi, le disciple est appelé à devenir saint – mis à part pour Dieu – comme Jésus est saint.

 

4. Le bon combat de la foi : la sanctification

Dans son épître aux Hébreux, chapitre 12, verset 14, Paul nous invite à rechercher la sanctification, et nous prévient que sans elle “personne ne verra le Seigneur”.

A plusieurs reprises, Paul va rappeler dans ses épîtres aux Thessaloniciens que Dieu nous appelle à la sanctification (1 Thessaloniciens 4:3;7). Il va même jusqu’à dire que Dieu nous a choisis pour le salut, et que celui-ci s’obtient “par la sanctification de l’Esprit et par la foi en la vérité” (2 Thessaloniciens 2:13). On ne peut pas être plus claire.

Néanmoins, pour être sûr que tout le monde comprenne bien, je vous propose une simple comparaison. Imaginons que notre père est milliardaire et qu’il décide de nous offrir un séjour d’une durée illimitée, tout confort, all inclusive, sur une île paradisiaque cachée, et qu’il nous dise que si nous voulons en profiter, il nous faudra nous y rendre en utilisant le GPS qu’il nous fourni et en suivant le seul itinéraire qu’il nous a communiqué. Même si nous croyons de toute notre âme que notre père nous a réellement offert ce séjour de rêve et qu’il nous a donné le bon itinéraire et un GPS fiable, si nous ne nous y rendons pas, si nous décidons de nous y rendre par un autre itinéraire que celui indiqué, ou si nous n’écoutons pas la voix du GPS, alors nous ne pourrons jamais arriver à destination et profiter de ce cadeau. Il en va de même pour notre salut. Même si nous croyons que notre Père céleste nous a offert le salut par grâce en Jésus, si nous ne veillons pas à suivre Jésus qui est le seul chemin qui y mène, par la sanctification de l’Esprit, si nous n’écoutons pas la voix du Saint-Esprit qui veut nous garder sur le bon chemin, ou si nous choisissons un autre chemin, alors nous ne l’atteindrons jamais.

 

4.1. Notre salut est en jeu

4.1.1. S’accommoder des choses du monde est dangereux

Dans sa première épître à l’église de Corinthe, au chapitre 5, Paul évoque l’impudicité d’un de ses membres et le condamne, au nom du Seigneur Jésus, à être “livré à Satan pour la destruction de la chair, afin que l’esprit soit sauvé au jour du Seigneur Jésus” (1 Corinthiens 5:5). Ce passage des Écritures peut nous sembler dure, mais je crois que c’est pour mieux nous interpeller.

La volonté de Paul ici est clairement de nous faire réaliser que celui qui ne veille pas à sa sanctification, qui s’adonne aux souillures du monde, se trouve sur une pente très glissante qui pourrait lui faire perdre le salut acquis en Jésus-Christ. Aussi l’apôtre estime préférable pour un tel homme qu’il meurt avant que ce drame bien plus grave ne se produise.

Dans 1 Corinthiens 3:15, Paul nous dit qu’un tel homme qui bâtirait un ouvrage impure sur le fondement saint qu’est Jésus-Christ perdrait sa récompense, mais serait “sauvé comme au travers du feu” (une autre traduction dit “sauvé de justesse, comme un homme qui réussit à échapper au feu”). Ne pas veiller sur sa sanctification c’est clairement jouer avec le feu.

 

4.1.2. Seul l’enseignement de Jésus peut préserver notre foi

Dans 1 Timothée 1:18-19; Paul nous exhorte à combattre “le bon combat, en gardant la foi et une bonne conscience. Cette conscience, quelques-uns l’ont perdue, et ils ont fait naufrage par rapport à la foi”. Le terme conscience vient du latin “conscientia”, lui-même composé du préfixe con- (« avec ») et de scientia (« connaissance »), ce qui pourrait être traduit par “connaître avec”.

La bonne conscience, c’est la connaissance qui vient du Seigneur Jésus, celle qui nous donne de discerner ce qui est bien et ce qui est mal. Si nous ne restons pas aux pieds du maître pour recevoir son enseignement, nous deviendrons incapables d’exercer un jugement juste et de préserver notre foi des souillures du monde.

Abandonner ainsi sa foi, c’est à terme perdre le salut qui l’accompagne. Pierre l’avait bien compris lorsqu’il répondit à Jésus : “Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle.” (Jean 6:68).

 

4.1.3. Le baptême nous engage sur le chemin qui mène au salut

Certains pourraient dire que Paul est en désaccord avec ce que Jésus avait enseigné, en citant Marc 16:15-16 : “Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.”. Mais ce serait vraiment mal comprendre ce qu’est la Bonne Nouvelle et ce que représente le baptême.

Souvent, peut-être pour attirer plus facilement les gens dans les églises, la Bonne Nouvelle est réduite à “Jésus, Sauveur”, alors que la Bonne Nouvelle complète c’est “Jésus, Sauveur ET Seigneur”. Cela fait une différence de taille car la Bonne Nouvelle complète implique non seulement que Jésus nous a qualifier pour parvenir au salut mais que nous devons maintenant courir pour remporter la course. Et cela demande d’abandonner ses anciennes passions et de s’engager à devenir un disciple de Jésus, bref, tout un programme…

Quant au baptême, il est souvent pris pour ce qui finit de nous assurer le salut, alors qu’en réalité ce n’est que le début du chemin, la ligne de départ de la course. En effet, la Bible dit que le baptême “n’est pas la purification des souillures du corps, mais l’engagement d’une bonne conscience envers Dieu, et qui maintenant vous sauve, vous aussi, par la résurrection de Jésus Christ” (1 Pierre 3:21). En d’autres termes, se faire baptiser devrait être une décision et un engagement personnel ferme envers Dieu à persévérer dans l’enseignement de Jésus qui seul mène à la vie.

 

4.2. L’assurance de notre salut ne se trouve qu’en Jésus-Christ

Jésus lui-même avait averti ses disciples à plusieurs reprises des enjeux de la sanctification.

Dans Matthieu 7:21-24, Jésus dit : “Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité. C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.”

Ce passage nous révèle que même si un homme a été baptisé d’eau et d’Esprit, qu’il a reçu et pratiqué des dons spirituels, s’il n’a pas veillé sur sa relation avec le Seigneur, sur sa bonne conscience, au point de commettre l’iniquité, il ne sera pas sauvé.

 

5. Disciple pour être sauvé, mais aussi pour porter du fruit

Dans Jean 15:1-8, Jésus dit également : “Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche ; et tout sarment qui porte du fruit, il l’émonde, afin qu’il porte encore plus de fruit. Déjà vous êtes purs, à cause de la parole que je vous ai annoncée. Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi. Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors, comme le sarment, et il sèche ; puis on ramasse les sarments, on les jette au feu, et ils brûlent. Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. Si vous portez beaucoup de fruit, c’est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples.”

Ces versets nous révèlent que porter beaucoup de fruit est le moyen par lequel nous sommes sauvés et le but pour lequel Jésus est mort à la croix, et que ce n’est possible qu’en restant soumis à Jésus.

 

5.1. Le bon fruit : le fruit de l’Esprit

Ainsi, comme nous venons de le voir, seul le disciple de Jésus peut avoir l’assurance de son salut. La Parole nous enseigne qu’on reconnaît le disciple au fruit qu’il porte. Dans Matthieu 7:6-19, Jésus nous dit en effet : “Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu.”.

Que ce soit le disciple ou le faux prophète, c’est par son fruit qu’on le reconnaît. Et le fruit du disciple est un fruit qui ne s’imite pas, c’est le fruit de l’Esprit qui est : “l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance” (Galates 5:22).

 

5.2. Un fruit manifesté par nos œuvres

Néanmoins ce fruit n’est pas spirituel seulement, il doit être visible à travers nos œuvres et notre obéissance à Dieu. Dans son Épître à Tite, Paul écrit au chapitre 3, verset 14 : “Il faut que les nôtres aussi apprennent à pratiquer de bonnes œuvres pour subvenir aux besoins pressants, afin qu’ils ne soient pas sans produire des fruits.”. Dans ce verset Paul recommande à Tite d’exhorter les jeunes disciples crétois à pratiquer de bonnes œuvres à leur portée dès que possible afin qu’ils commencent à porter des fruits agréables à Dieu. “Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions” (Éphésiens 2:10).

 

5.2.1. Les œuvres de notre foi nous justifient

Si c’est bien par la foi que nous sommes sauvés, la foi sans les œuvres est morte. En effet, Dans Jacques 2:14-26, la Parole nous dit : “Mes frère, que sert-il à quelqu’un de dire qu’il a la foi, s’il n’a pas les œuvres ? La foi peut-elle le sauver ? Si un frère ou une sœur sont nus et manquent de la nourriture de chaque jour, et que l’un d’entre vous leur dise : Allez en paix, chauffez-vous et vous rassasiez ! et que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire au corps, à quoi cela sert-il ? Il en est ainsi de la foi : si elle n’a pas les œuvres, elle est morte en elle-même. Mais quelqu’un dira : Toi, tu as la foi ; et moi, j’ai les œuvres. Montre-moi ta foi sans les œuvres, et moi, je te montrerai la foi par mes œuvres. Tu crois qu’il y a un seul Dieu, tu fais bien ; les démons le croient aussi, et ils tremblent. Veux-tu savoir, ô homme vain, que la foi sans les œuvres est inutile ? Abraham, notre père, ne fut-il pas justifié par les œuvres, lorsqu’il offrit son fils Isaac sur l’autel ? Tu vois que la foi agissait avec ses œuvres, et que par les œuvres la foi fut rendue parfaite. Ainsi s’accomplit ce que dit l’Écriture : Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice ; et il fut appelé ami de Dieu. Vous voyez que l’homme est justifié par les œuvres, et non par la foi seulement. Rahab la prostituée ne fut-elle pas également justifiée par les œuvres, lorsqu’elle reçut les messagers et qu’elle les fit partir par un autre chemin ? Comme le corps sans âme est mort, de même la foi sans les œuvres est morte.”.

 

5.2.2. Les œuvres de notre foi gagnent des âmes à Christ

Si Dieu a voulu que ce soit par une foi œuvrante en notre Seigneur Jésus que nous soyons sauvés, et non par la foi seulement, c’est sans doute parce que nos œuvres sont une démonstration, un témoignage de notre foi à Dieu, mais aussi et surtout au monde dans le but de le sauver.

En effet, Dieu “veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité.” (1 Timothée 2:4). La Parole nous dit encore que “Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle” (Jean 3:16). Or comment le monde pourrait-il croire au message de l’Évangile, si personne ne le prêche ? Et comment pourrait-il vouloir s’engager à suivre le Seigneur Jésus si nos œuvres ne témoignent pas de notre rencontre avec Lui et notre conversion ?

Nous devrions donc, d’une part, tous nous engager dans l’évangélisation, à notre niveau. D’autre part, nous devrions tous veiller à ce que les œuvres qui accompagnent le message que nous portons soient des démonstrations d’Esprit et de puissance, afin que la foi de ceux à qui nous prêchons soit “fondée, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu” (1 Corinthiens 2:5).

Ce n’est que de cette manière que nous pourrons, à la fois, avoir l’assurance de notre propre salut et participer au plan de salut de Dieu pour l’humanité. Je rends grâce à Dieu d’avoir voulu rendre son Église participante de son œuvre afin que nous puissions faire qu’un avec Lui. Les derniers mots de Jésus adressés à ses disciples selon l’Évangile de Matthieu sont les suivants : “Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.”. Le disciple a cette espérance glorieuse que Christ est en lui et qu’il œuvre au travers de lui.

 

6. Conclusion

Il est primordial de réaliser que croire que Jésus est le Messie ne suffit pas pour faire de nous des chrétiens, ça ne suffit pas pour nous assurer le salut. Pour cela, Dieu attend de nous que nous demeurions en Christ et Christ en nous. En d’autres termes, nous devons nous lier à sa Parole et lui permettre d’agir en nous, en gardant un cœur bien disposé. Ce n’est qu’à cette seule condition que nous pourrons préserver notre conscience pure, garder la foi, et porter des fruits en toutes sortes de bonnes œuvres qui rendront notre foi parfaite et amèneront des âmes à Christ.

“Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.” Jésus (Jean 14:6)

 

  • Cet article t’a-t-il aidé à réaliser les attentes de Dieu envers toi ?
  • Y as-tu découvert une motivation pour méditer la Parole et prier ?
  • A-t-il fait naître en toi un zèle pour les bonnes œuvres ?

 

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Olivier BORG

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